Lettreouverte de cheminots en colère à l’adresse des usagers : où va la SNCF ? La sécurité ferroviaire est l’affaire de tous . Aujourd’hui, la politique générale de la direction de la SNCF, à l’instar d’autres grandes sociétés françaises comme La Poste, Air France et ENGIE, révèle sa volonté affichée et assumée de tendre vers une logique de rentabilité.
Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. Mis à jour le 3 oct. 2016 Se protéger, ça passe par des règles», explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand-chose qui passe», estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun a un rôle à jouer», souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque 2500 personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'État a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation». La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. Rendre les attaques publiques Et pour les autres? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV», raconte Guillaume Poupard. Et bien, la même chose!» Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur», prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par courriel, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces ransomwares», et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon.
La sécurité est intégrée dans notre démarche RSE, labélisant les bonnes pratiques de l’entreprise », rappelle Thierry Lahuppe, dont la direction gère 4 500 types de matérielsLes spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protéger, ça passe par des règles", explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c’est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun à un rôle à jouer", souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'Etat a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation". La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la même chose!" Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur", prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon. Lasécurité sanitaire des aliments joue un rôle essentiel pour garantir que les aliments soient sains à tous les stades de la chaîne alimentaire, de la production à Une stratégie de communication pour être acteur de la mise en œuvre d'une démarche préventive La prévention des risques professionnels qui a pour objectif de préserver la santé et la sécurité au travail des salariés, passe par une communication irréprochable et efficace ! Le travail évolue sans cesse ainsi que les tâches et les outils confiés. D’où la nécessité d’être acteur de la mise en œuvre d’une démarche préventive structurée et planifiée. C’est pour cela, que Changement de décor vous propose ce qu’il se fait de mieux en terme d’outils de communication dans la prévention des risques professionnels Afin de prévenir ces risques professionnels, nous intégrons à votre communication globale cohérente qui passe par la prise de conscience individuelle, une saynète de 20 minutes prête à jouer ». ObjectifsOrganisationThèmesExtraitsObjectifs L’intervention, de l’un des outils de Communication du theatre Entreprise de Changement de decor », qui est la saynète » prête à jouer » vous permettra de guider vos collaborateurs vers les principes généraux et les bonnes pratiques qu’il est indispensable de connaître dans le cadre de la sécurité au travail. Le travail change et se transforme. La concentration des collaborateurs est différente de l’époque de la signalétique affichées sur les murs de l’entreprise, qui ne suffit plus. Une communication globale cohérente est indispensable pour avoir l’adhésion de l’ensemble des équipes. C’est pour cela que l’originalité de notre moyen de communication servira à la mise en place d’initiatives en alliant les acteurs internes CHSCT, Services de santé au travail. Il est donc primordial d’avoir l’adhésion pérenne de chacune et chacun avec une approche originale. Travailler ensemble pour la prévention des risques professionnels, c’est assurer la réussite et l’efficacité de votre communication dans votre démarche de prévention des risques professionnels. Organisation Saynète de 25 minutes à 3 Aucun délai de scénarisation n’est à prévoir, puisque les saynètes sont déjà écrites et prêtes à être jouées. Il est cependant possible de prévoir une scénarisation sur-mesure via notre prestation saynète sur mesure Option possible La saynète peut être accompagnée d’un quiz boîtier de vote interactif et système de vote interactif pour faire participer de façon ludique les collaborateurs. Une intervention “happening” ou “effet surprise” est également possible. Cela a l’avantage de surprendre, de façon ludique, le public, donc de capter encore plus leur attention. Il est tout à fait envisageable de faire intervenir avec les comédiens, des collaborateurs de l’entreprise. Pour cela, il faudra prévoir des répétitions avec ceux-ci. Thèmes Les thèmes d’intervention de cet outil de communication de la prévention des risques professionnels Nécessité de l’entreprise de mettre en place une vraie politique de sécurité au travail Conduites à risques et alcool au volant Comportement à risques sur son lieu de travail ou lors du trajet travail Non signalement des dangers ou d’un dysfonctionnement Mauvaise évaluation de l’Entreprise des risques professionnels DUER Économie sur les moyens et l’humain Extraits Extraits – Et alors toi, la ceinture, tu la mets jamais sur ton engin… – Mais je conduis un chariot élévateur ! Pas une Porsche ! – Oui c’est vrai ça avance pas vite… – Ben oui ! – Mais ça fait rien tu prends un risque quand même.. – Hé j’ai 30 ans de boite ! Tu vas m’apprendre mon métier hein ! – Non mais… – Même dans ma bagnole je la mets jamais alors ! – lève les yeux au ciel en soupirant et en s’éloignant Ah la la…. … – Ah ça c’est bien passé ce rendez-vous ! – Très bien ! Et on le fête dignement ! – Ah ça ! C’est délicieux ce restaurant ! – Hein ! Je te l’avais dit… – Ah oui tu n’as pas menti !… De l’apéritif au dessert c’est une merveille… – Et ce St Emilion ! A se mettre à genoux devant ! – C’est vrai… – Toi qui me disais Oh une bouteille ça va peut-être faire beaucoup » Et ben regarde… On l’a descendue ! – Oui ça coule tout seul… T’as raison… Une demie ça aurait peut-être fait un peu juste… – Et comment ! Et ce petit calva avec le café ça fait bien couler tout ce que l’on a mangé… – C’est sûr !… – Mais les meilleures choses ont une fin… Malheureusement il va falloir y aller… – Regardant sa montre Oui on a tout juste le temps ! – Alors allez ! C’est parti !
La responsabilité en SST l'affaire de tous! Publié le 03/10/2017 Voir toutes les infos Tout le monde le sait, mais est-ce que tout le monde le fait? Pour que cela fonctionne vraiment en santé-sécurité, pour les meilleurs résultats, c'est-à -dire, le moins d’accidents possible, voire même, zéro accident, il est essentiel que tout le monde dans l’entreprise prenne ses responsabilités. La haute direction doit faire savoir que la SST est une valeur importante. Et elle doit donner les moyens nécessaires pour le prouver ressources matérielles et humaines, et temps. Les cadres doivent s’impliquer dans chacun des outils de prévention et, surtout, mobiliser leurs travailleurs autour des efforts de prévention. Les travailleurs, quant à eux, doivent adhérer aux règles de sécurité, et même, aller au-delà en faisant preuve d’initiatives sécuritaires. Ces exemples, parmi tant d’autres, de prises de responsabilités en SST à différents niveaux, nous les connaissons tous. Mais est-ce que nous agissons tous de façon responsable? Force est de constater que ce n’est pas toujours le cas! La haute direction doit faire savoir que la SST est une valeur importante. Et elle doit donner les moyens nécessaires pour le prouver ressources matérielles et humaines, et temps. Les cadres doivent s’impliquer dans chacun des outils de prévention et, surtout, mobiliser leurs travailleurs autour des efforts de prévention. Les travailleurs, quant à eux, doivent adhérer aux règles de sécurité, et même, aller au-delà en faisant preuve d’initiatives sécuritaires. Ces exemples, parmi tant d’autres, de prises de responsabilités en SST à différents niveaux, nous les connaissons tous. Mais est-ce que nous agissons tous de façon responsable? Force est de constater que ce n’est pas toujours le cas! Curieusement, quand ça accroche » en termes de responsabilités en SST dans une entreprise, ce n’est pas dû au fait que les acteurs de chaque niveau hiérarchique n’ont aucune idée des responsabilités qui leur incombent. C’est plus un problème de perception. C’est-à -dire qu’à tous les niveaux dans l’entreprise les gens ont tendance à déterminer que c’est à tel ou tel autre niveau que les réelles responsabilités se trouvent. À leur niveau, ce serait moins important… Un exemple un dirigeant qui inscrit ses superviseurs dans une formation pour enquêter et analyser les accidents sans toutefois s’assurer que leur charge de travail leur permet de prendre le temps nécessaire afin de bien effectuer le travail d’enquête et d’analyse lorsqu’un accident survient. Un autre exemple des superviseurs qui sont persuadés que la prévention, c’est surtout l’affaire des travailleurs parce que ce sont eux qui, au final, vont en bénéficier le plus en ne se blessant pas. Un dernier exemple un groupe de travailleurs qui s’implique très peu en prévention sous prétexte que c’est aux boss » de s’en occuper, parce que c’est leur entreprise et que la loi les y oblige. Dans notre cours Formation à la supervision, on voit, bien entendu, les responsabilités du superviseur, mais aussi que la responsabilité doit être partagée en santé-sécurité. À tous les niveaux, on doit mettre l’épaule à la roue. Entre autres, parce que c’est au niveau du plancher » que se trouvent les risques et les dangers, les règles doivent y être scrupuleusement respectées. L’information doit également provenir des travailleurs dans les cas où des situations anormales sont rencontrées ou pour des pistes d’amélioration. La supervision, quant à elle, en sandwich entre le dirigeant et les travailleurs, doit jouer son rôle de transmetteur dans les deux sens. Elle doit aussi s’investir dans les outils de prévention, montrer l’exemple et encadrer les employés. Le dirigeant, lui, doit démontrer que la SST ce n’est pas que sur du papier, il doit rendre disponibles les ressources financières et humaines, et accorder du temps, en vue d’obtenir une performance dont il sera fier, mais aussi, pour démontrer qu’il a à cœur l’intégrité physique des membres de son personnel. Si votre personnel ne perçoit pas clairement ses responsabilités en SST, il importe d’agir positivement en ce sens. Consultez notre programmation de formations, chaque niveau hiérarchique peut y trouver son compte.. 53 402 56 178 125 164 64 416