EXPĂRIENCES DU PRĂSENT TEXTES Vous trouverez les textes suivants dans le cadre du dossier Le Temps vĂ©cu » SĂNĂQUE De la briĂšvetĂ© de la vie extrait saint AUGUSTIN Confessions, livre XI extrait. MONTAIGNE Essais, II, XII, Apologie de Raymond Sebond extrait Essais, III, 13, De l'expĂ©rience extrait Blaise PASCAL, De l'esprit gĂ©omĂ©trique extrait Jean-Jacques ROUSSEAU Les RĂȘveries du promeneur solitaire extrait Emmanuel KANT Anthropologie du point de vue pragmatique extrait Charles BAUDELAIRE L'Horloge Les Fleurs du Mal Marcel PROUST Du cĂŽtĂ© de chez Swann extrait. Charles PĂGUY Note conjointe sur M. Bergson et la philosophie bergsonienne extrait Henri BERGSON La PensĂ©e et le mouvant extrait COLETTE La Maison de Claudine extrait Jules SUPERVIELLE Les chevaux du Temps Jean-Paul SARTRE La NausĂ©e extrait ALAIN ElĂ©ments de philosophie extrait CIORAN Le Livre des leurres La Chute dans le temps extraits Ernst BLOCH Le principe EspĂ©rance extrait Claude MAURIAC Le Temps immobile VI extrait AndrĂ© COMTE-SPONVILLE TraitĂ© de la bĂ©atitude et du dĂ©sespoir extrait Jean ONIMUS Bonheurs, bonheur extrait. Corpus de citations. Accueil du site Magister Vocabulaire Types de textes Genres littĂ©raires Explication de texte Le commentaire Texte argumentatif La dissertation Parcours Ćuvres intĂ©grales Dossiers BTS Liens
ï»żexplicationde texte bergson l'Ă©nergie spirituelle la conscience. Tristan Et Iseut Chapitre 4 Analyse, Assassin's Creed Odyssey Valeurs Familiales HĂ©rodote, Pliage Oiseau Papier Facile, Laurier Du Caucase Allergie, Le Petit Corps Culbutant De Travers, Aphasie Mots FlĂ©chĂ©s, ClĂ© D'identification Des Insectes, Robot Tondeuse Husqvarna, Boucle D'oreille Double Trou Or,Voici le texte intĂ©gral de la lettre de Spinoza Ă propos de la libertĂ©, adressĂ©e Ă G. H. texte complet de la lettre est suivi par un commentaire de texte, qui constitue une correction possible si le sujet vous est posĂ© lors dâune Ă©preuve de corrigĂ©s vous permettront de mieux comprendre le texte et expliquent ce quâil faut lire derriĂšre les lignes. NĂ©anmoins, la lecture de la lettre originale est importante avant de lire la correction â commentaire de intĂ©gral de la lettre de Spinoza sur la libertĂ©Jâappelle libre, quant Ă moi, une chose qui est et agit par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature ; contrainte, celle qui est dĂ©terminĂ©e par une autre Ă exister et Ă agir dâune certaine façon par exemple, existe librement bien que nĂ©cessairement parce quâil existe par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature. De mĂȘme aussi Dieu se connaĂźt lui-mĂȘme librement parce quâil existe par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature. De mĂȘme aussi Dieu se connaĂźt lui-mĂȘme et connaĂźt toutes choses librement, parce quâil suit de la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature que Dieu connaisse toutes choses. Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la libertĂ© dans un libre dĂ©cret mais dans une libre descendons aux choses créées qui sont toutes dĂ©terminĂ©es par des causes extĂ©rieures Ă exister et Ă agir dâune certaine façon dĂ©terminĂ©e. Pour rendre cela clair et intelligible, concevons une chose trĂšs simple une pierre par exemple reçoit dâune cause extĂ©rieure qui la pousse, une certaine quantitĂ© de mouvements et, lâimpulsion de la cause extĂ©rieure venant Ă cesser, elle continuera Ă se mouvoir nĂ©cessairement. Cette persistance de la pierre dans le mouvement est une contrainte, non parce quâelle est nĂ©cessaire, mais parce quâelle doit ĂȘtre dĂ©finie par lâimpulsion dâune cause extĂ©rieure. Et ce qui est vrai de la pierre il faut lâentendre de toute chose singuliĂšre, quelle que soit la complexitĂ© quâil vous plaise de lui attribuer, si nombreuses que puissent ĂȘtre ses aptitudes, parce que toute chose singuliĂšre est nĂ©cessairement dĂ©terminĂ©e par une cause extĂ©rieure Ă exister et Ă agir dâune certaine maniĂšre maintenant, si vous voulez bien, que la pierre, tandis quâelle continue de se mouvoir, pense et sache quâelle fait effort, autant quâelle peut, pour se mouvoir. Cette pierre assurĂ©ment, puisquâelle a conscience de son effort seulement et quâelle nâest en aucune façon indiffĂ©rente, croira quâelle est trĂšs libre et quâelle ne persĂ©vĂšre dans son mouvement que parce quâelle le est cette libertĂ© humaine que tous se vantent de possĂ©der et qui consiste en cela seul que les hommes ont conscience de leurs appĂ©tits et ignorent les causes qui les dĂ©terminent. Un enfant croit librement appĂ©ter le lait, un jeune garçon irritĂ© vouloir se venger et, sâil est poltron, vouloir fuir. Un ivrogne croit dire par un libre dĂ©cret de son Ăąme ce quâensuite, revenu Ă la sobriĂ©tĂ©, il aurait voulu taire. De mĂȘme un dĂ©lirant, un bavard, et bien dâautres de mĂȘme farine, croient agir par un libre dĂ©cret de lâĂąme et non se laisser prĂ©jugĂ© Ă©tant naturel, congĂ©nital parmi tous les hommes, ils ne sâen libĂšrent pas aisĂ©ment. Bien quâen effet lâexpĂ©rience enseigne plus que suffisamment que, sâils est une chose dont les hommes soient peu capables , câest de rĂ©gler leurs appĂ©tits et, bien quâils constatent que partagĂ©s entre deux affections contraires, souvent ils voient le meilleur et font le pire, ils croient cependant quâils sont libres, et cela parce quâil y a certaines choses nâexcitant en eux quâun appĂ©tit lĂ©ger, aisĂ©ment maitrisĂ© par le souvenir frĂ©quemment rappelĂ© de quelque autre SPINOZA, lettre Ă Schuller, Lettre LVIII, in ĆuvresCommentaire de texte Explications sur la lettre de Spinoza Ă propos de la libertĂ©[INTRODUCTION][ThĂšme]Dans sa correspondance, dont une partie prend place aprĂšs la parution de lâEthique, Spinoza a maintes fois lâoccasion dâaborder le thĂšme de la libertĂ©. Il en est ici de nouveau question.[PrĂ©sentation de lâauteur]Baruch Spinoza est un philosophe nĂ©erlandais du XVIIe siĂšcle, dont les Ă©crits lui ont valu une excommunication de la communautĂ© juive. Si ses ouvrages sont alors scandaleux, ce nâest pas tant par un quelconque refus de la religion, mais bien par sa rĂ©interprĂ©tation ou son interprĂ©tation simplement des concepts religieux mais aussi philosophiques, au nombre desquels la libertĂ© doit compter.[Enjeu] Cette lettre sâinscrit donc Ă une Ă©poque oĂč la libertĂ© entendue comme libre-arbitre veut ĂȘtre prĂ©servĂ©e, notamment pour rendre compte du pĂ©chĂ© comme acte dĂ©libĂ©rĂ© et contre la rĂ©forme protestante qui un siĂšcle plus tĂŽt en Europe Ă©galement ouvre la voie Ă la notion de prĂ©destination.[ProblĂ©matique] Ainsi, le problĂšme auquel rĂ©pond Spinoza dans sa lettre Ă G. H. Schuller est celui de comprendre comment le prĂ©jugĂ© du libre-arbitre peut ĂȘtre percĂ© et Ă©lucidĂ© par les ĂȘtres humains. Comment la libertĂ© peut ĂȘtre conçue pour ce quâelle est, Ă savoir une libre nĂ©cessitĂ© plutĂŽt quâun libre dĂ©cret, ce dernier nâĂ©tant quâune illusion ?[ThĂšse]Spinoza souligne lâimportance de se dĂ©faire des superstitions, au rang desquelles appartient le libre-arbitre, et qui rĂ©side dans le fait que lâhomme pense savoir quâil vit selon sa propre dĂ©cision, alors quâil ne fait que suivre la nĂ©cessitĂ©.[Plan]Pour aboutir Ă cette thĂšse, il est possible dâidentifier trois mouvements dans le texte selon ses trois paragraphes dâabord, Spinoza rappelle les conclusions de lâEthique, en prĂ©cisant ce quâi appelle libertĂ©. Puis il fait voir les dĂ©veloppements et les consĂ©quences de ces conclusions en insistant sur le fait que toute chose est dĂ©terminĂ©e si elle est singuliĂšre. Enfin, il porte un coup Ă lâillusion de maĂźtrise des hommes en dĂ©voilant par plusieurs exemples que lâhomme nâest pas cet empire dans un empire » Ethique quâil croit ĂȘtre.[Importance]Cette dĂ©couverte, Ă savoir que la libertĂ© en tant que libre-arbitre nâest quâillusion, est fondamentale dans lâhistoire de la philosophie, puisque les auteurs Ă venir ne feront que se situer par rapport Ă Spinoza sur cette question ; dâoĂč la phrase de Hegel lâalternative est Spinoza ou pas de philosophie. ».[PREMIĂRE PARTIE]Dans la premiĂšre partie, Spinoza entend donc rappeler les conclusions de lâ commence donc par faire la distinction entre ce qui est libre et contraint. Est libre une chose qui est et agit par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature ». Pour Spinoza, la nĂ©cessitĂ© consiste en ce qui ne peut pas ne pas ĂȘtre, ce qui dans lâEthique vaut pour Dieu lui-mĂȘme et donc le monde. Si tout nâest pas libre, tout est nĂ©cessaire pour Spinoza. Le contingent nâest pas une caractĂ©ristique du monde possible. Il est donc plus important dâinsister sur les mots la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature » dans le sens oĂč rien dâextĂ©rieur nâintervient, et câest ce qui donne le caractĂšre libre. Au contraire, ce qui est contraint est dĂ©terminĂ© par une autre Ă exister ». Câest bien lâagent extĂ©rieur qui fonde la distinction, car tout est est il est possible de dire de Dieu quâil est libre. Car si lui-mĂȘme est nĂ©cessaire, câest-Ă -dire quâil nâaurait pas pu ne pas ĂȘtre ou ĂȘtre diffĂ©rent, pour autant rien ne lâa poussĂ© Ă exister ou Ă persĂ©vĂ©rer dans son ĂȘtre de maniĂšre causale et par un agent extĂ©rieur. Dieu, Ă©galement, connaĂźt toutes choses librement » de façon Ă©vidente Ă la lecture de lâEthique, puisque Dieu consiste en le monde entier, il est illimitĂ© et infini, ces attributs dĂ©rivant de sa nature par dĂ©finition. Puisquâil est toutes choses, il connaĂźt » toutes pourquoi Spinoza rectifie contre la possibilitĂ© de galvauder les termes lâidĂ©e que la libertĂ© pour lui reviendrait au libre dĂ©cret » notion synonyme de libre-arbitre » tel quâil est posĂ© par Saint Thomas dâAquin dans sa Somme thĂ©ologique, dĂ©cret » insistant sur le pouvoir dĂ©cisionnel. La libertĂ© pour Spinoza consiste donc Ă suivre sa propre nature, et rien dâautre.[DEUXIĂME PARTIE]Dans la seconde partie de ce texte, Spinoza prend lâexemple dâune chose singuliĂšre pour rendre compte quâelle est dĂ©terminĂ©e par une cause extĂ©rieure et donc bien comprendre lâexemple que prend Spinoza, il convient de voir quâi prĂ©pare en fait une comparaison avec lâĂȘtre humain. Mais Ă ce moment, Spinoza se contente de descendre » Ă une chose singuliĂšre, dont personne nâaffirme ou nâa affirmĂ© quâelle pourrait ĂȘtre libre en lâoccurrence une pierre. Ainsi une pierre jetĂ©e par quelquâun, ou entraĂźnĂ©e par quelque chose dâautre, imprimera un mouvement et sera en dĂ©placement. Personne ne soupçonnerait alors que cette pierre est libre. Si cette rĂ©flexion servira pour la troisiĂšme partie, dans la prĂ©sente Spinoza dĂ©finit ainsi une chose contrainte, et gĂ©nĂ©ralise depuis a pierre Ă toute chose singuliĂšre, câest-Ă -dire toute chose qui est unique et bien prĂ©sente, matĂ©rielle. Il est important de dire que Spinoza inclut les ĂȘtres vivants, animaux comme humains, visĂ©s en particulier par formule quelque chose la complexitĂ© quâil vous plaise de lui attribuer ». Ainsi il nâest pas de diffĂ©rence radicale entre une pierre, un animal et un ĂȘtre humain, si ce nâest par la complexitĂ©, qui sont tous des choses singuliĂšres. Or toute chose chose singuliĂšre, donc un homme u compris, existe par une cause et dâune certaine façon dĂ©terminĂ©e, tout comme la pierre a Ă©tĂ© jetĂ©e. La seule exception Ă©tant bien sĂ»r Dieu, qui nâest provoquĂ© ou engendrĂ© par aucune cause extĂ©rieure ni dĂ©terminĂ© Ă agir dâaucune sorte.[TROISIĂME PARTIE]Spinoza dans la troisiĂšme partie montre par lâexemple comment comprendre le prĂ©jugĂ© du dĂ©monstration par lâexemple passe par lâidĂ©e dâaccorder Ă la pierre, donc pour rappel personne ne soupçonne quâelle soit libre, la pensĂ©e et la conscience. Bien sĂ»r le parallĂšle avec lâhomme est voulu et important. Il sâagit pour Spinoza de faire voir que lâhomme a simplement conscience et sait quâil se meut et quâil persĂ©vĂšre dans son mouvement » sans pour autant ĂȘtre maĂźtre de ses actions, sans quâil ne soit cet empire dans un empire », illusion dĂ©noncĂ©e dĂ©jĂ dans lâEthique. Ainsi que la pierre nâest pas dotĂ©e de libertĂ© mais est contrainte, de mĂȘme lâhomme est dĂ©terminĂ©. Lâillusion tient donc seulement au fait que les hommes sont conscients de leur conatus, terme spinoziste dĂ©crivant lâeffort de persĂ©vĂ©rer dans son ĂȘtre. Mais les hommes ne se rendant pas compte de toutes les causes qui les poussent Ă agir, de mĂȘme que la pierre ne sâentraĂźne pas elle-mĂȘme, ils croient alors quâils sont libres. Il serait possible dâajouter que cette dĂ©sillusion est une humiliation pour lâhomme comme le dĂ©note lâutilisation du terme se vante », car cette illusion participait pour lâhomme de se croire tout puissant sur en ce sens Ă©numĂšre une sĂ©rie dâexemples pour renforcer son argumentation et ainsi au passage marquer le fait quâil nây a pas de radicale diffĂ©rence entre un enfant », un jeune garçon irritĂ© », un ivrogne », un dĂ©lirant » ou encore un bavard », mais surtout avec un adulte qui nâa aucune de ces conditions ou de condition similaire. Ils sont certes diffĂ©rents par la conscience et la pensĂ©e quâils ont sur eux-mĂȘmes, mais pas du tout dans le fait quâis sont entiĂšrement humain, quelle que soit sa condition ou sa proximitĂ© avec des standards normaux » nâest donc pas libre dans le sens dâun libre dĂ©cret. Circonstance attĂ©nuante de cette Ă©erreur, Spinoza explique que cette illusion est naturelle, câest-Ă -dire quâelle vient Ă lâesprit spontanĂ©ment. Mais lâEthique est bien lâouvrage qui appelle Ă se dĂ©tacher de cette opinion, et cette lettre conclut de faire comprendre ce quâest rĂ©ellement la libertĂ© pour Spinoza.[CONCLUSION][Bilan] En conclusion, il sâagit dans cette lettre Ă G. H. Schuller non seulement de rappeler le rĂ©sultat de lâEthique en matiĂšre de libertĂ©, mais surtout de pourfendre dĂ©finitivement le caractĂšre illusoire du libre-arbitre, en dĂ©voilant par lâexemple ce quâest vraiment la libertĂ© et ce quâelle nâest pas.[Ouvertures] LâĂȘtre humain, duquel il faut exclure tout libre-arbitre, se trouve ainsi remis Ă sa place dans lâimmensitĂ© du monde que Dieu est. Câest pourquoi, il faudrait dâune part rĂ©flĂ©chir sur cette humiliation, ou blessure narcissique » dâaprĂšs les termes de Freud, ce dernier ne lâayant pas inclus dans son Introduction Ă la psychanalyse comme une des blessures, alors quâil pourrait ĂȘtre remarquĂ© un rapprochement avec la critique de lâinconscient, qui pousse Ă dire que lâhomme nâest pas son propre maĂźtre. Dâautre part, il serait intĂ©ressant de voir comment pour Spinoza la destruction de lâillusion du libre-arbitre conduit Ă mieux connaĂźtre Dieu, et par consĂ©quent se rapprocher de la fĂ©licitĂ©.â Explications du Discours de la MĂ©thode â Descartes
Stage- Explication de texte : La pensée et le mouvant, Bergson : accédez au QCM de ce cours du chapitre Explications de texte en Philosophie Terminale.
Platon Aristote Mais nâest-ce pas le dĂ©sir insatiable de ce que la dĂ©mocratie regarde comme son bien suprĂȘme qui perd cette derniĂšre? A savoir la libertĂ©. En effet, dans une citĂ© dĂ©mocratique, tu entendras[âŠ] Continue reading ⊠Texte de Rousseau Ce quâil y a de plus nĂ©cessaire, et peut-ĂȘtre de plus difficile dans le gouvernement, câest une intĂ©gritĂ© sĂ©vĂšre Ă rendre justice Ă tous, et surtout Ă protĂ©ger le pauvre contre[âŠ] Continue reading ⊠BENJAMIN CONSTANT EMMANUEL KANT Le principe moral que dire la vĂ©ritĂ© est un devoir, sâil Ă©tait pris de maniĂšre absolue et isolĂ©e, rendrait toute sociĂ©tĂ© impossible [âŠ]. Dire la vĂ©ritĂ©[âŠ] Continue reading ⊠Nâoubliez le 7Ăšme art dans vos exemples dans un sujet sur lâart mais sachez sĂ©lectionner vos exemples. Si le courage de Rocky , lâĂ©picurisme de Baloo dans Le livre de la jungle nâont pas leur place[âŠ] Continue reading ⊠Le corps de lâhomme sauvage Ă©tant le seul instrument quâil connaisse, il lâemploie Ă divers usages, dont, parle dĂ©faut dâexercice, les nĂŽtres sont incapables ; et câest notre industrie qui[âŠ] Continue reading ⊠Le texte des S Lâignorance des causes et de la constitution originaire du droit, de lâĂ©quitĂ©, de la loi et de la justice conduit les gens Ă faire de la coutume et de lâexemple[âŠ] Continue reading ⊠Ce passage de lâĂ©tat de nature Ă lâĂ©tat civil produit dans lâhomme un changement trĂšs remarquable, en substituant dans sa conduite la justice Ă lâinstinct, en donnant Ă ses actions la moralitĂ© qui leur manquait[âŠ] Continue reading ⊠Texte de Popper pĂšre du falsificationnisme, courant de pensĂ©e sur la science du XX qui a succĂ©dĂ© au positivisme triomphant du XIX Ăšme siĂšcle incarnĂ© par Auguste Comte qui pourrait servir aux Ă©lĂšves de[âŠ] Continue reading ⊠SĂ©rie ES Sujet 1 Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s dĂ©finitives ? Sujet 2 Le travail nous rend-il plus humain ? Sujet 3 Expliquer le texte suivant âLe respect sâapplique toujours uniquement aux personnes,[âŠ] Continue reading ⊠Quâest-ce donc que la libertĂ© ? NaĂźtre, câest Ă la fois naĂźtre du monde et naĂźtre au monde. Le monde est dĂ©jĂ constituĂ©, mais aussi jamais complĂštement constituĂ©. Sous le premier rapport, nous sommes sollicitĂ©s, sous[âŠ] Continue reading ⊠Il est bon dâavoir un peu de mal Ă vivre et de ne pas suivre une route toute unie. Je plains les rois sâils nâont quâĂ dĂ©sirer; et les dieux, sâil y en a quelque[âŠ] Continue reading ⊠Et tout dâabord toute sociĂ©tĂ© exige nĂ©cessairement un accommodement rĂ©ciproque, une volontĂ© dâharmonie aussi, plus elle est nombreuse, plus elle devient fade. / On ne peut ĂȘtre vraiment soi quâaussi longtemps quâon est seul ;[âŠ] Continue reading ⊠Au fait, nous remarquons que plus une raison cultivĂ©e sâoccupe de poursuivre la jouissance de la vie et du bonheur, plus lâhomme sâĂ©loigne du vrai contentement. VoilĂ pourquoi chez beaucoup, et chez ceux-lĂ mĂȘmes qui[âŠ] Continue reading ⊠SUJET SĂ©rie Technologique sur Nature et Culture entiĂšrement corrigĂ© Nous les pouvons donc bien appeler barbares, eu Ă©gard aux rĂšgles de la raison, mais non pas eu Ă©gard Ă nous, qui les[âŠ] Continue reading ⊠SĂ©rie L Expliquer le texte suivant Puisque la libertĂ© exige que la rĂ©ussite ne dĂ©coule pas de la dĂ©cision comme une consĂ©quence, il faut que la rĂ©alisation puisse Ă chaque instant ne pas ĂȘtre, pour[âŠ] Continue reading ⊠. 199 377 240 476 18 263 47 379