Cest alors que naquirent de nombreuses thĂšses concernant, entre autres, le sens du langage, son origine, son rapport au rĂ©el mais aussi Ă  la pensĂ©e. Bergson fait partie de ses nombreux philosophes et nous expose dans son Ɠuvre La PensĂ©e et le Mouvant, que le langage serait d'abord et essentiellement un moyen de communication.

Ce post est issu d'un fil consacrĂ© Ă  un petit extrait du § 65 de la Critique de la facultĂ© de juger. Comme le fil d'origine dĂ©borde dĂ©jĂ  bien assez de son lit tout seul, je place ici la suite de ma petite trois textesTroisiĂšme texteAu terme d'un examen mĂȘme trĂšs rapide, un propos principal semble net, la difficultĂ© est plutĂŽt de le localiser, vu que l'Ă©criture de ce passage semble quasi rĂ©pĂ©titive. On peut le rĂ©sumer d'un trait en disant qu'il s'agit d'attribuer Ă©minemment Ă  l'homme un dĂ©sir de faire sociĂ©tĂ©. Quelqu'un qui connaĂźt bien Hume aura tendance Ă  dĂ©tacher particuliĂšrement le concept de sympathie », mais Ă  l'Ă©chelle de ce passage TNH, II, ii, 5 ce n'est pas contraignant, et le passage ne se prĂȘte pas bien Ă  tout un exposĂ© gĂ©nĂ©ral sur le rĂŽle certes central de ce concept chez me semble que la couleur est clairement annoncĂ©e dĂšs le dĂ©part Dans toutes les crĂ©atures qui ne font pas des autres leurs proies et que de violentes passions n'agitent pas, se manifeste un remarquable dĂ©sir de compagnie, qui les associe les unes les autres. Ce dĂ©sir est encore plus manifeste chez l'homme celui-ci est la crĂ©ature de l'univers qui a le dĂ©sir le plus ardent d'une sociĂ©tĂ©, et il y est adaptĂ© par les avantages les plus nombreux. Nous ne pouvons former aucun dĂ©sir qui ne se rĂ©fĂšre pas Ă  la sociĂ©tĂ©. On a le sentiment que ce qui suit immĂ©diatement constitue une variation sur le thĂšme ou plutĂŽt sur la thĂšse, qui l'illustre sur des exemples d'une assez grande gĂ©nĂ©ralitĂ© sans ce dĂ©sir la solitude ne serait pas une punition, et la pire de toutes ; sans ce dĂ©sir nous ne constaterions pas que tout plaisir languit de n'ĂȘtre pas partagĂ©. La derniĂšre phrase du petit passage que j'isole ainsi gĂ©nĂ©ralise de nouveau toutes les passions ont pour principe la sympathie », nous dit-on La parfaite solitude est peut-ĂȘtre la plus grande punition que nous puissions souffrir. Tout plaisir est languissant quand nous en jouissons hors de toute compagnie, et toute peine devient plus cruelle et plus intolĂ©rable. Quelles que soient les autres passions qui nous animent, orgueil, ambition, avarice, curiositĂ©, dĂ©sir de vengeance, ou luxure, le principe de toutes, c'est la sympathie elles n'auraient aucune force si nous devions faire entiĂšrement abstraction des pensĂ©es et des sentiments d'autrui. Ce qui reste du texte se dĂ©tache mĂ©thodologiquement, puisqu'on procĂšde Ă  une expĂ©rience de pensĂ©e on imagine un homme qui.... Pour autant il est difficile d'affirmer que des arguments entiĂšrement nouveaux alimentent ce passage ce qui sert d'argument, ici, c'est l'accord supposĂ©, et attendu, sur le rĂ©sultat de cet exercice de l'imagination personne ne dira heureux notre homme supposĂ© tout puissant et tout seul. Faites que tous les pouvoirs et tous les Ă©lĂ©ments de la nature s'unissent pour servir un seul homme et pour lui obĂ©ir ; faites que le soleil se lĂšve et se couche Ă  son commandement ; que la mer et les fleuves coulent Ă  son grĂ© ; que la terre lui fournisse spontanĂ©ment ce qui peut lui ĂȘtre utile et agrĂ©able il sera toujours misĂ©rable tant que vous ne lui aurez pas donnĂ© au moins une personne avec qui il puisse partager son bonheur, et de l'estime et de l'amitiĂ© de qui il puisse jouir. Bref, un texte dont la thĂšse est trĂšs facilement identifiable, mais dont la structure paraĂźt un peu lĂąche ─ Hume a de ces passages, qui alternent avec le contraire exact, une Ă©criture argumentative trĂšs serrĂ©e ─ et qui serait difficile Ă  commenter en raison mĂȘme du fait qu'il donne l'impression de se rĂ©pĂ©ter un Ă  cela, il faut surtout dĂ©velopper ce que Hume ne dĂ©veloppe pas p. ex. montrer comment l'avarice mais aussi l'ambition, la curiositĂ©, etc. rĂ©fĂšre Ă  autrui. C'est plus ou moins facile selon les cas par exemple il faut brancher le dĂ©sir de vengeance » sur la sympathie », et pour cela dĂ©finir celle-ci dans la mesure oĂč les indices contenus dans le texte le permettent. Commenter le rĂȘve de toute-puissance qui se fait jour dans l'hypothĂšse. Bref, il est bien clair que si le texte donne un peu l'impression d'ĂȘtre rĂ©pĂ©titif, il faudra tout faire pour que l'explication Ă©vite de l' texteJe souligne les deux propositions qui me semble-t-il doivent sauter aux yeux comme constituant la thĂšse du texte. Plus prĂ©cisĂ©ment, n'importe laquelle des deux convient ; selon l'auteur Spinoza, TraitĂ© politique, VI la seconde revient Ă  la premiĂšre en d'autres termes » nous fait passer de l'une Ă  l'autre ─ en la prĂ©cisant, imagine-t-on sinon, pourquoi deux formulations ?. Ici, restituer la thĂšse en concatĂ©nant deux Ă©noncĂ©s est possible, mais c'est parce que le texte l'autorise en prĂ©sentant ces Ă©noncĂ©s comme Ă  peu prĂšs Ă©quivalents. On pourrait donc dire que la thĂšse du texte est que L'État doit ĂȘtre organisĂ© [de façon Ă  ce que] tous, par force et par nĂ©cessitĂ© si ce n'est spontanĂ©ment, soient contraints de vivre selon la discipline de la raison ». Ce qui, bien entendu, n'Ă©claire pas tant que cette proposition mĂȘme notamment l'idĂ©e d'une discipline de la raison » n'est pas rendue claire. Si la constitution naturelle des hommes leur faisait dĂ©sirer avec le plus d'ardeur ce qui tend Ă  leur plus haut intĂ©rĂȘt, toute intervention expresse, en vue de faire rĂ©gner la concorde et la bonne foi, serait superflue. Mais telle n'est pas la pente habituelle de la nature humaine, on le sait. L'Etat doit donc ĂȘtre organisĂ© nĂ©cessairement de maniĂšre que tous, gouvernants et gouvernĂ©s - qu'ils agissent de bon ou de mauvais grĂ© - n'en mettent pas moins leur conduite au service du salut gĂ©nĂ©ral. En d'autres termes, il faut que tous, par force et par nĂ©cessitĂ© si ce n'est spontanĂ©ment, soient contraints de vivre selon la discipline de la raison. Pour que soit atteint ce rĂ©sultat, le fonctionnement de l'Etat sera rĂ©glĂ© de telle sorte, qu'aucune affaire important au salut gĂ©nĂ©ral ne soit jamais confiĂ©e Ă  un seul individu, prĂ©sumĂ© de bonne foi. Car l'homme le plus vigilant est cependant assujetti au sommeil, par intervalles, le plus fort et le plus inĂ©branlable est sujet Ă  faiblir ou Ă  se laisser vaincre, aux moments prĂ©cis oĂč il aurait besoin de la plus grande Ă©nergie. Ce qui prĂ©cĂšde et ce qui suit s'articule logiquement de maniĂšre me semble-t-il claire Ă  l'Ă©noncĂ© central. On a d'un cĂŽtĂ© une partie de ce qui rend nĂ©cessaire la contrainte Ă©tatique prĂ©sentĂ©e sous la forme d'un rĂ©sultat Ă  atteindre, c'est intĂ©ressant de le remarquer, et de l'autre, Ă  la fin donc, l'une des conditions Ă  remplir pour atteindre ce rĂ©sultat, avec sa forte, Ă©noncĂ© net, c'est du pain bĂ©nit, si j'ose dire, ça se commente tout seul. La diffĂ©rence entre une explication qui explique et une explication qui explique vraiment se ferait probablement sur la finesse avec laquelle seraient restituĂ©es les nuances conceptuelles concorde », bonne foi » [qui est une exĂ©crable traduction de fides mais bon c'est le texte que les Ă©lĂšves ont eu...] et les synonymies que le texte apparemment impose le service du salut gĂ©nĂ©ral » et la discipline de la raison » seraient la mĂȘme chose la retraduction n'est pas triviale.Premier texteLe plus court de ces textes, maintenant Un philosophe a dit que c'est une faiblesse que d'avoir de la honte et de la pudeur pour des actions infĂąmes. On dit souvent de semblables paradoxes par une fougue d'imagination, ou dans l'emportement de ses passions. Mais pourquoi condamnera-t-on ces sentiments, s'il n'y a un ordre, une rĂšgle, une raison universelle et nĂ©cessaire, qui se prĂ©sente toujours Ă  ceux qui savent rentrer dans eux-mĂȘmes ? Nous ne craignons point de juger les autres ou de nous juger nous-mĂȘmes en bien des rencontres; mais par quelle autoritĂ© le faisons-nous, si la Raison qui juge en nous, lorsqu'il nous semble que nous prononçons des jugements contre nous-mĂȘmes et contre les autres, n'est notre souveraine et celle de tous les hommes ? Certes le point d'aboutissement du raisonnement est bien que juger, c'est juger selon une raison universelle et nĂ©cessaire ». Il n'y a pas de place pour autre chose ; c'est la conclusion du raisonnement et le texte ne contient rien d'autre que ce raisonnement ; c'est donc la thĂšse du je pense qu'on s'accordera pour dire Ă  la fois que l'intĂ©rĂȘt du texte n'est pas du tout lĂ , mais uniquement dans l'argument qui nous demande de nous appuyer sur la condamnation ─ supposĂ©e acquise ─ du propos du philosophe » en question incidemment, il s'agit de DiogĂšne, pour remonter ensuite Ă  ce qui nous autorise » Ă  le condamner ainsi. Avec tout ce qu'il y a Ă  restituer d'implicite dans la prĂ©misse latente suivant laquelle le jugement ne peut s'autoriser de rien d'autre que d'une raison universelle ».J'ajoute, d'ailleurs, qu'on peut lĂ©gitimement hĂ©siter un moment avant d'identifier Ă  quoi renvoie l'expression ces sentiments ». Si ces sentiments » Ă©taient la honte et la pudeur » et non les paradoxes » du genre de ceux de DiogĂšne, le texte prendrait un tout autre sens, et il faudrait en reformuler le propos ; l'argument central se comprenant diffĂ©remment Ă©galement.Si donc je devais prĂ©senter le propos du texte, je ne me contenterais pas d'en Ă©noncer la conclusion, ce serait une description excessivement rachitique. Je dirais que ce texte invite Ă  remonter Ă  l'idĂ©e d'une raison universelle et nĂ©cessaire » comme Ă  l'un des prĂ©supposĂ©s de tout jugement ─ et du jugement moral en l'occurrence, puisque c'est sur cet exemple que la conclusion est conquise.Ce texte est extrait de l'Éclaircissement X Ă  la Recherche de la vĂ©ritĂ© de Malebranche.Un mot de commentaire ?Tout ce que j'entendais montrer en regardant rapidement ces quelques textes, c'est que mĂȘme dans le cas oĂč un texte Ă  commenter soutient une thĂšse aisĂ©ment identifiable, elle ne s'identifie pas nĂ©cessairement de la mĂȘme façon selon le texte. Il peut mĂȘme arriver qu'un texte, encore qu'extrĂȘmement bref, ne soit caractĂ©risĂ© que de façon trĂšs insatisfaisante par l'Ă©noncĂ© de la thĂšse la conclusion Ă  laquelle il fait partie des raisons pour lesquelles je prĂ©fĂšre parler d' opĂ©ration principale » d'un texte, soutenir/dĂ©montrer une thĂšse » n'Ă©tant qu'une opĂ©ration possible, parmi d' autre type de texteIl y a quelques annĂ©es j'ai proposĂ© ça Ă  des L2. Marc-AurĂšle, PensĂ©es, IX, 1. L'injustice est une impiĂ©tĂ©. La nature universelle, ayant constituĂ© les ĂȘtres raisonnables les uns pour les autres, a voulu qu'ils s'entr'aidassent selon leur mĂ©rite respectif, sans se nuire d'aucune maniĂšre. L'homme qui transgresse ce dessein de la nature comment Ă©videmment une impiĂ©tĂ© envers la plus vĂ©nĂ©rable des mensonge aussi est une impiĂ©tĂ© Ă  l'Ă©gard de la mĂȘme divinitĂ©. La nature universelle est la nature des choses, et les choses ont un rapport d'affinitĂ© avec ce qu'on dit de vrai Ă  leur sujet. En outre on appelle encore cette dĂ©esse la VĂ©ritĂ© et elle est la cause premiĂšre de tout ce qui est vrai. Donc l'homme qui ment volontairement attente Ă  la piĂ©tĂ©, puisque, en trompant, il commet une injustice ; et, de mĂȘme,celui qui ment involontairement, en tant qu'il dĂ©tone dans la nature universelle et qu'il la dĂ©pare en combattant la nature du monde. Il la combat, l'homme qui se porte Ă  l'encontre de la vĂ©ritĂ© en dĂ©pit de lui-mĂȘme il avait reçu de la nature des dispositions qu'il a nĂ©gligĂ©es et maintenant il n'est plus capable de distinguer le vrai du outre, l'homme qui recherche les plaisirs comme des biens et qui fuit les douleurs comme des maux est aussi coupable d'impiĂ©tĂ©. Il est inĂ©vitable, en effet, qu'un tel homme accuse frĂ©quemment la nature universelle de faire une rĂ©partition inique entre les mĂ©chants et les gens de bien ; car il arrive frĂ©quemment que les mĂ©chants vivent dans les plaisirs et amassent tout ce qui peut procurer du plaisir, tandis que les gens de bien tombent dans la douleur et les accidents qui la causent. En outre, celui qui craint la douleur craindra un jour ou l'autre quelque Ă©vĂ©nement, de ceux qui doivent arriver dans le monde c'est dĂ©jĂ  une impiĂ©tĂ©. Et celui qui poursuit les plaisirs ne pourra s'abstenir de l'injustice ; c'est une impiĂ©tĂ© manifeste. Il faut, pour les choses Ă  l'Ă©gard desquelles la nature universelle se comporte de maniĂšre Ă©gale elle ne produirait pas les unes et les autres, si elle ne se comportait Ă  leur Ă©gard de maniĂšre Ă©gale, il faut, dis-je, que ceux qui veulent prendre la nature pour guide et vivre d'accord avec elle imitent ses dispositions Ă©gales Ă  leur Ă©gard. Donc, vis-Ă -vis de la douleur et du plaisir, de la mort et de la vie, de la gloire et de l'obscuritĂ©, choses dont s'accommode Ă©galement la nature universelle, quiconque ne se comporte pas d'une maniĂšre Ă©gale commet une Ă©vidente impiĂ©tĂ©. Je pense que sur un texte de ce type, certes difficile, une recherche trop mĂ©canique de la thĂšse » et du problĂšme » risque d'aboutir Ă  un rĂ©sultat dĂ©cevant. Ou mĂȘme sur quelque chose de trĂšs classique comme ceci Bergson, La PensĂ©e et le mouvant, 1292/51, qui est parfois proposĂ© aux Ă©lĂšves de Terminale dans un dĂ©coupage diffĂ©rent [La philosophie] nous affranchit de certaines servitudes spĂ©culatives quand elle pose le problĂšme de l'esprit en termes d'esprit et non plus de matiĂšre, quand, d'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, elle nous dispense d'employer les concepts Ă  un travail pour lequel la plupart ne sont pas faits. Ces concepts sont inclus dans les mots. Ils ont, le plus souvent, Ă©tĂ© Ă©laborĂ©s par l'organisme social en vue d'un objet qui n'a rien de mĂ©taphysique. Pour les former, la sociĂ©tĂ© a dĂ©coupĂ© le rĂ©el selon ses besoins. Pourquoi la philosophie accepterait-elle une division qui a toutes chances de ne pas correspondre aux articulations du rĂ©el? Elle l'accepte pourtant d'ordinaire. Elle subit le problĂšme tel qu'il est posĂ© par le langage. Elle se condamne donc par avance Ă  recevoir une solution toute faite ou, en mettant les choses au mieux, Ă  simplement choisir entre les deux ou trois solutions, seules possibles, qui sont coĂ©ternelles Ă  cette position du problĂšme. Autant vaudrait dire que toute vĂ©ritĂ© est dĂ©jĂ  virtuellement connue, que le modĂšle en est dĂ©posĂ© dans les cartons administratifs de la citĂ©, et que la philosophie est un jeu de puzzle oĂč il s'agit de reconstituer, avec des piĂšces que la sociĂ©tĂ© nous fournit, le dessin qu'elle ne veut pas nous montrer. DerniĂšre Ă©dition par PauvreYorick le Ven 7 Nov 2014 - 947, Ă©ditĂ© 1 fois Raison modification du titre

HenriBergson Le rire Essai sur la signification du comique La BibliothÚque électronique du Québec Collection Philosophie Volume 16 : version 1.0 2. Elle permet la mémoire, et la mémoire permet la conscience, qui comme nous l'avons vu, permet le choix, et la création. : MLA: Copier Berthoz, Alain.« Les théories de Bergson sur la perception, la mémoire et le rire, au
EXPÉRIENCES DU PRÉSENT TEXTES Vous trouverez les textes suivants dans le cadre du dossier Le Temps vĂ©cu » SÉNÈQUE De la briĂšvetĂ© de la vie extrait saint AUGUSTIN Confessions, livre XI extrait. MONTAIGNE Essais, II, XII, Apologie de Raymond Sebond extrait Essais, III, 13, De l'expĂ©rience extrait Blaise PASCAL, De l'esprit gĂ©omĂ©trique extrait Jean-Jacques ROUSSEAU Les RĂȘveries du promeneur solitaire extrait Emmanuel KANT Anthropologie du point de vue pragmatique extrait Charles BAUDELAIRE L'Horloge Les Fleurs du Mal Marcel PROUST Du cĂŽtĂ© de chez Swann extrait. Charles PÉGUY Note conjointe sur M. Bergson et la philosophie bergsonienne extrait Henri BERGSON La PensĂ©e et le mouvant extrait COLETTE La Maison de Claudine extrait Jules SUPERVIELLE Les chevaux du Temps Jean-Paul SARTRE La NausĂ©e extrait ALAIN ElĂ©ments de philosophie extrait CIORAN Le Livre des leurres La Chute dans le temps extraits Ernst BLOCH Le principe EspĂ©rance extrait Claude MAURIAC Le Temps immobile VI extrait AndrĂ© COMTE-SPONVILLE TraitĂ© de la bĂ©atitude et du dĂ©sespoir extrait Jean ONIMUS Bonheurs, bonheur extrait. Corpus de citations. Accueil du site Magister Vocabulaire Types de textes Genres littĂ©raires Explication de texte Le commentaire Texte argumentatif La dissertation Parcours ƒuvres intĂ©grales Dossiers BTS Liens
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Voici le texte intĂ©gral de la lettre de Spinoza Ă  propos de la libertĂ©, adressĂ©e Ă  G. H. texte complet de la lettre est suivi par un commentaire de texte, qui constitue une correction possible si le sujet vous est posĂ© lors d’une Ă©preuve de corrigĂ©s vous permettront de mieux comprendre le texte et expliquent ce qu’il faut lire derriĂšre les lignes. NĂ©anmoins, la lecture de la lettre originale est importante avant de lire la correction – commentaire de intĂ©gral de la lettre de Spinoza sur la libertĂ©J’appelle libre, quant Ă  moi, une chose qui est et agit par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature ; contrainte, celle qui est dĂ©terminĂ©e par une autre Ă  exister et Ă  agir d’une certaine façon par exemple, existe librement bien que nĂ©cessairement parce qu’il existe par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature. De mĂȘme aussi Dieu se connaĂźt lui-mĂȘme librement parce qu’il existe par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature. De mĂȘme aussi Dieu se connaĂźt lui-mĂȘme et connaĂźt toutes choses librement, parce qu’il suit de la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature que Dieu connaisse toutes choses. Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la libertĂ© dans un libre dĂ©cret mais dans une libre descendons aux choses créées qui sont toutes dĂ©terminĂ©es par des causes extĂ©rieures Ă  exister et Ă  agir d’une certaine façon dĂ©terminĂ©e. Pour rendre cela clair et intelligible, concevons une chose trĂšs simple une pierre par exemple reçoit d’une cause extĂ©rieure qui la pousse, une certaine quantitĂ© de mouvements et, l’impulsion de la cause extĂ©rieure venant Ă  cesser, elle continuera Ă  se mouvoir nĂ©cessairement. Cette persistance de la pierre dans le mouvement est une contrainte, non parce qu’elle est nĂ©cessaire, mais parce qu’elle doit ĂȘtre dĂ©finie par l’impulsion d’une cause extĂ©rieure. Et ce qui est vrai de la pierre il faut l’entendre de toute chose singuliĂšre, quelle que soit la complexitĂ© qu’il vous plaise de lui attribuer, si nombreuses que puissent ĂȘtre ses aptitudes, parce que toute chose singuliĂšre est nĂ©cessairement dĂ©terminĂ©e par une cause extĂ©rieure Ă  exister et Ă  agir d’une certaine maniĂšre maintenant, si vous voulez bien, que la pierre, tandis qu’elle continue de se mouvoir, pense et sache qu’elle fait effort, autant qu’elle peut, pour se mouvoir. Cette pierre assurĂ©ment, puisqu’elle a conscience de son effort seulement et qu’elle n’est en aucune façon indiffĂ©rente, croira qu’elle est trĂšs libre et qu’elle ne persĂ©vĂšre dans son mouvement que parce qu’elle le est cette libertĂ© humaine que tous se vantent de possĂ©der et qui consiste en cela seul que les hommes ont conscience de leurs appĂ©tits et ignorent les causes qui les dĂ©terminent. Un enfant croit librement appĂ©ter le lait, un jeune garçon irritĂ© vouloir se venger et, s’il est poltron, vouloir fuir. Un ivrogne croit dire par un libre dĂ©cret de son Ăąme ce qu’ensuite, revenu Ă  la sobriĂ©tĂ©, il aurait voulu taire. De mĂȘme un dĂ©lirant, un bavard, et bien d’autres de mĂȘme farine, croient agir par un libre dĂ©cret de l’ñme et non se laisser prĂ©jugĂ© Ă©tant naturel, congĂ©nital parmi tous les hommes, ils ne s’en libĂšrent pas aisĂ©ment. Bien qu’en effet l’expĂ©rience enseigne plus que suffisamment que, s’ils est une chose dont les hommes soient peu capables , c’est de rĂ©gler leurs appĂ©tits et, bien qu’ils constatent que partagĂ©s entre deux affections contraires, souvent ils voient le meilleur et font le pire, ils croient cependant qu’ils sont libres, et cela parce qu’il y a certaines choses n’excitant en eux qu’un appĂ©tit lĂ©ger, aisĂ©ment maitrisĂ© par le souvenir frĂ©quemment rappelĂ© de quelque autre SPINOZA, lettre Ă  Schuller, Lettre LVIII, in ƒuvresCommentaire de texte Explications sur la lettre de Spinoza Ă  propos de la libertĂ©[INTRODUCTION][ThĂšme]Dans sa correspondance, dont une partie prend place aprĂšs la parution de l’Ethique, Spinoza a maintes fois l’occasion d’aborder le thĂšme de la libertĂ©. Il en est ici de nouveau question.[PrĂ©sentation de l’auteur]Baruch Spinoza est un philosophe nĂ©erlandais du XVIIe siĂšcle, dont les Ă©crits lui ont valu une excommunication de la communautĂ© juive. Si ses ouvrages sont alors scandaleux, ce n’est pas tant par un quelconque refus de la religion, mais bien par sa rĂ©interprĂ©tation ou son interprĂ©tation simplement des concepts religieux mais aussi philosophiques, au nombre desquels la libertĂ© doit compter.[Enjeu] Cette lettre s’inscrit donc Ă  une Ă©poque oĂč la libertĂ© entendue comme libre-arbitre veut ĂȘtre prĂ©servĂ©e, notamment pour rendre compte du pĂ©chĂ© comme acte dĂ©libĂ©rĂ© et contre la rĂ©forme protestante qui un siĂšcle plus tĂŽt en Europe Ă©galement ouvre la voie Ă  la notion de prĂ©destination.[ProblĂ©matique] Ainsi, le problĂšme auquel rĂ©pond Spinoza dans sa lettre Ă  G. H. Schuller est celui de comprendre comment le prĂ©jugĂ© du libre-arbitre peut ĂȘtre percĂ© et Ă©lucidĂ© par les ĂȘtres humains. Comment la libertĂ© peut ĂȘtre conçue pour ce qu’elle est, Ă  savoir une libre nĂ©cessitĂ© plutĂŽt qu’un libre dĂ©cret, ce dernier n’étant qu’une illusion ?[ThĂšse]Spinoza souligne l’importance de se dĂ©faire des superstitions, au rang desquelles appartient le libre-arbitre, et qui rĂ©side dans le fait que l’homme pense savoir qu’il vit selon sa propre dĂ©cision, alors qu’il ne fait que suivre la nĂ©cessitĂ©.[Plan]Pour aboutir Ă  cette thĂšse, il est possible d’identifier trois mouvements dans le texte selon ses trois paragraphes d’abord, Spinoza rappelle les conclusions de l’Ethique, en prĂ©cisant ce qu’i appelle libertĂ©. Puis il fait voir les dĂ©veloppements et les consĂ©quences de ces conclusions en insistant sur le fait que toute chose est dĂ©terminĂ©e si elle est singuliĂšre. Enfin, il porte un coup Ă  l’illusion de maĂźtrise des hommes en dĂ©voilant par plusieurs exemples que l’homme n’est pas cet empire dans un empire » Ethique qu’il croit ĂȘtre.[Importance]Cette dĂ©couverte, Ă  savoir que la libertĂ© en tant que libre-arbitre n’est qu’illusion, est fondamentale dans l’histoire de la philosophie, puisque les auteurs Ă  venir ne feront que se situer par rapport Ă  Spinoza sur cette question ; d’oĂč la phrase de Hegel l’alternative est Spinoza ou pas de philosophie. ».[PREMIÈRE PARTIE]Dans la premiĂšre partie, Spinoza entend donc rappeler les conclusions de l’ commence donc par faire la distinction entre ce qui est libre et contraint. Est libre une chose qui est et agit par la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature ». Pour Spinoza, la nĂ©cessitĂ© consiste en ce qui ne peut pas ne pas ĂȘtre, ce qui dans l’Ethique vaut pour Dieu lui-mĂȘme et donc le monde. Si tout n’est pas libre, tout est nĂ©cessaire pour Spinoza. Le contingent n’est pas une caractĂ©ristique du monde possible. Il est donc plus important d’insister sur les mots la seule nĂ©cessitĂ© de sa nature » dans le sens oĂč rien d’extĂ©rieur n’intervient, et c’est ce qui donne le caractĂšre libre. Au contraire, ce qui est contraint est dĂ©terminĂ© par une autre Ă  exister ». C’est bien l’agent extĂ©rieur qui fonde la distinction, car tout est est il est possible de dire de Dieu qu’il est libre. Car si lui-mĂȘme est nĂ©cessaire, c’est-Ă -dire qu’il n’aurait pas pu ne pas ĂȘtre ou ĂȘtre diffĂ©rent, pour autant rien ne l’a poussĂ© Ă  exister ou Ă  persĂ©vĂ©rer dans son ĂȘtre de maniĂšre causale et par un agent extĂ©rieur. Dieu, Ă©galement, connaĂźt toutes choses librement » de façon Ă©vidente Ă  la lecture de l’Ethique, puisque Dieu consiste en le monde entier, il est illimitĂ© et infini, ces attributs dĂ©rivant de sa nature par dĂ©finition. Puisqu’il est toutes choses, il connaĂźt » toutes pourquoi Spinoza rectifie contre la possibilitĂ© de galvauder les termes l’idĂ©e que la libertĂ© pour lui reviendrait au libre dĂ©cret » notion synonyme de libre-arbitre » tel qu’il est posĂ© par Saint Thomas d’Aquin dans sa Somme thĂ©ologique, dĂ©cret » insistant sur le pouvoir dĂ©cisionnel. La libertĂ© pour Spinoza consiste donc Ă  suivre sa propre nature, et rien d’autre.[DEUXIÈME PARTIE]Dans la seconde partie de ce texte, Spinoza prend l’exemple d’une chose singuliĂšre pour rendre compte qu’elle est dĂ©terminĂ©e par une cause extĂ©rieure et donc bien comprendre l’exemple que prend Spinoza, il convient de voir qu’i prĂ©pare en fait une comparaison avec l’ĂȘtre humain. Mais Ă  ce moment, Spinoza se contente de descendre » Ă  une chose singuliĂšre, dont personne n’affirme ou n’a affirmĂ© qu’elle pourrait ĂȘtre libre en l’occurrence une pierre. Ainsi une pierre jetĂ©e par quelqu’un, ou entraĂźnĂ©e par quelque chose d’autre, imprimera un mouvement et sera en dĂ©placement. Personne ne soupçonnerait alors que cette pierre est libre. Si cette rĂ©flexion servira pour la troisiĂšme partie, dans la prĂ©sente Spinoza dĂ©finit ainsi une chose contrainte, et gĂ©nĂ©ralise depuis a pierre Ă  toute chose singuliĂšre, c’est-Ă -dire toute chose qui est unique et bien prĂ©sente, matĂ©rielle. Il est important de dire que Spinoza inclut les ĂȘtres vivants, animaux comme humains, visĂ©s en particulier par formule quelque chose la complexitĂ© qu’il vous plaise de lui attribuer ». Ainsi il n’est pas de diffĂ©rence radicale entre une pierre, un animal et un ĂȘtre humain, si ce n’est par la complexitĂ©, qui sont tous des choses singuliĂšres. Or toute chose chose singuliĂšre, donc un homme u compris, existe par une cause et d’une certaine façon dĂ©terminĂ©e, tout comme la pierre a Ă©tĂ© jetĂ©e. La seule exception Ă©tant bien sĂ»r Dieu, qui n’est provoquĂ© ou engendrĂ© par aucune cause extĂ©rieure ni dĂ©terminĂ© Ă  agir d’aucune sorte.[TROISIÈME PARTIE]Spinoza dans la troisiĂšme partie montre par l’exemple comment comprendre le prĂ©jugĂ© du dĂ©monstration par l’exemple passe par l’idĂ©e d’accorder Ă  la pierre, donc pour rappel personne ne soupçonne qu’elle soit libre, la pensĂ©e et la conscience. Bien sĂ»r le parallĂšle avec l’homme est voulu et important. Il s’agit pour Spinoza de faire voir que l’homme a simplement conscience et sait qu’il se meut et qu’il persĂ©vĂšre dans son mouvement » sans pour autant ĂȘtre maĂźtre de ses actions, sans qu’il ne soit cet empire dans un empire », illusion dĂ©noncĂ©e dĂ©jĂ  dans l’Ethique. Ainsi que la pierre n’est pas dotĂ©e de libertĂ© mais est contrainte, de mĂȘme l’homme est dĂ©terminĂ©. L’illusion tient donc seulement au fait que les hommes sont conscients de leur conatus, terme spinoziste dĂ©crivant l’effort de persĂ©vĂ©rer dans son ĂȘtre. Mais les hommes ne se rendant pas compte de toutes les causes qui les poussent Ă  agir, de mĂȘme que la pierre ne s’entraĂźne pas elle-mĂȘme, ils croient alors qu’ils sont libres. Il serait possible d’ajouter que cette dĂ©sillusion est une humiliation pour l’homme comme le dĂ©note l’utilisation du terme se vante », car cette illusion participait pour l’homme de se croire tout puissant sur en ce sens Ă©numĂšre une sĂ©rie d’exemples pour renforcer son argumentation et ainsi au passage marquer le fait qu’il n’y a pas de radicale diffĂ©rence entre un enfant », un jeune garçon irritĂ© », un ivrogne », un dĂ©lirant » ou encore un bavard », mais surtout avec un adulte qui n’a aucune de ces conditions ou de condition similaire. Ils sont certes diffĂ©rents par la conscience et la pensĂ©e qu’ils ont sur eux-mĂȘmes, mais pas du tout dans le fait qu’is sont entiĂšrement humain, quelle que soit sa condition ou sa proximitĂ© avec des standards normaux » n’est donc pas libre dans le sens d’un libre dĂ©cret. Circonstance attĂ©nuante de cette Ă©erreur, Spinoza explique que cette illusion est naturelle, c’est-Ă -dire qu’elle vient Ă  l’esprit spontanĂ©ment. Mais l’Ethique est bien l’ouvrage qui appelle Ă  se dĂ©tacher de cette opinion, et cette lettre conclut de faire comprendre ce qu’est rĂ©ellement la libertĂ© pour Spinoza.[CONCLUSION][Bilan] En conclusion, il s’agit dans cette lettre Ă  G. H. Schuller non seulement de rappeler le rĂ©sultat de l’Ethique en matiĂšre de libertĂ©, mais surtout de pourfendre dĂ©finitivement le caractĂšre illusoire du libre-arbitre, en dĂ©voilant par l’exemple ce qu’est vraiment la libertĂ© et ce qu’elle n’est pas.[Ouvertures] L’ĂȘtre humain, duquel il faut exclure tout libre-arbitre, se trouve ainsi remis Ă  sa place dans l’immensitĂ© du monde que Dieu est. C’est pourquoi, il faudrait d’une part rĂ©flĂ©chir sur cette humiliation, ou blessure narcissique » d’aprĂšs les termes de Freud, ce dernier ne l’ayant pas inclus dans son Introduction Ă  la psychanalyse comme une des blessures, alors qu’il pourrait ĂȘtre remarquĂ© un rapprochement avec la critique de l’inconscient, qui pousse Ă  dire que l’homme n’est pas son propre maĂźtre. D’autre part, il serait intĂ©ressant de voir comment pour Spinoza la destruction de l’illusion du libre-arbitre conduit Ă  mieux connaĂźtre Dieu, et par consĂ©quent se rapprocher de la fĂ©licitĂ©.→ Explications du Discours de la MĂ©thode – Descartes
benjaminwiik frĂšres et sƓurs; elle est toujours a lheure 9 lettres. invocation des 24 vieillards pdf ; spondylarthrite ankylosante et soins dentaires; second empire dĂ©mocratie; blog cuisine poisson; rever d'embrasser une celebrite. dĂ©livrance de liens d'Ăąmes; rĂ©sumĂ© le horla et six contes fantastiques la peur; Ű§ÙŠÙ‡Ù…Ű§ ŰŁÙŰ¶Ù„ Ù„Ù„ŰšŰŽŰ±Ű© فيŰȘŰ§Ù…ÙŠÙ† e ŰŁÙˆ c; texte bergson
Les Ă©lĂšves de terminales bac gĂ©nĂ©ral ont passĂ© l'Ă©preuve de philosophie ce lundi matin. ImmĂ©diatement, des profs ou des sites internet ont planchĂ© de leur cĂŽtĂ©. Voici quelques Ă©lĂ©ments de corrigĂ© pour se rassurer ou au contraire se rendre compte qu'on s'est plantĂ©... SĂ©rie LFrance 3 Lorraine a soumis les 3 sujets Ă  William Schuman, professeur de philosophie, au lycĂ©e de la Communication de Metz 1. Le langage n'est-il qu'un outil ? Autre corrigĂ© proposĂ© par Le Monde. 2. La science se limite t'elle Ă  constater les faits ? 3 Explication de la Lettre Ă  Elisabeth, de RenĂ© Descartes 1645 sur le rapport que "l'Homme" entretient avec "le Tout"SĂ©rie Ă©conomique ES1. Que devons-nous Ă  l'Etat ?SĂ©rie Scientifique S L'Express propose des corrigĂ©s synthĂ©tiques thĂšse, antithĂšse, synthĂšse pour les 3 sujets Peut-on agir moralement sans s'intĂ©resser Ă  la politique ? 2. Le travail permet-il de prendre conscience de soi ? partir d'un texte extrait de La PensĂ©e et le mouvant, d'Henri Bergson 1934, rĂ©pondre Ă  la question "Qu'est-ce qu'un jugement vrai ?" Sur BFMTV, Robin Galhac, professeur de philosophie, donne quelques clĂ©s pour savoir si on a rĂ©ussi ou non cette Ă©preuve de philo. fr3r_https_disabled videobfmtv Luc Ferry, ancien ministre de l'Education Nationale et philosophe a Ă©galement donnĂ© une interview au Figaro sur les sujets du bac philo 2013. Il donne quelques Ă©lĂ©ments de corrigĂ©. fr3r_https_disabled corrigĂ© luc ferry Le philosophe RaphaĂ«l Enthoven a Ă©galement donnĂ©, sur RTL, quelques pistes sur trois des sujets proposĂ©s lundi matin aux candidats du baccalaurĂ©at gĂ©nĂ©ral. enthoven rtl RĂ©sultats du bac 2013 avec Francetv infoPour connaĂźtre les rĂ©sultats le jour de la leur publication, inscrivez-vous Ă  l’alerte de Francetv info. Il suffit de taper son e-mail et vous serez les premiers Ă  avoir accĂšs aux rĂ©sultats dĂšs qu'il seront disponibles.

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